« Les questions liées à l’auteur, à sa dilution, tout comme à la visibilité de l’artiste sont au centre de la naissance du collectif. La critique de la séparation prononcée au début des an- nées 1960 par Guy Debord trouve chez eux une nouvelle incarnation. S’affichant en vacances ou organisant des «journées de rêve» qui visent à promouvoir par l’image le quotidien, ALP est bien contemporain des premières nouvelles frontières du numérique, des licences par- tagées, mais également de la téléréalité. » Olivier Michelon